La fine blessure ...
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Hopital pendant la premiere guerre mondiale
Le soldat craque et n’a plus qu’une obsession ... quitter le front, coûte que coûte. Moins radicale que la désertion (promise à la peine de mort) la « fine blessure », celle qui nécessite l’évacuation pour l’hosteau, apparaît comme la solution la plus souhaitable.
Lors des bombardements, il n’est pas rare de voir des soldats lever les mains volontairement au-dessus de la tranchée dans l’espoir d’un éclat d’obus providentiel. L’hôpital offre le répit… et un vrai lit. Aussi, il fait des envieux.
les poilus blesses
Les Boches nous ont encore blessé huit hommes, tous pas grièvement ; si seulement j’avais été à la place de l’un deux. Quel rêve ! L’hôpital !
blesses legers pendant la premiere guerre mondiale
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Les poilus