Autre exutoire, le « quart de gnôle »...
Il ne s’agit plus cette fois-ci du vin sacré, mais d’alcool fort.
On s’enivre pour partir à l’assaut de l’ennemi, pour se réchauffer les veines.
Les vapeurs éthyliques plongent le
peuple des tranchées dans une insouciance primaire.
Je vis au milieu d’hommes ivres et soûls. Je me sens mal à l’aise dans cette atmosphère où rien
n’est sentiment et où règne l’animal.