L'enthousiasme de la foule pour Hitler
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Dans les gares, les mêmes spectacles se répétaient. Des gens furent écrasés pour avoir traversé les voies ferrées en se précipitant vers le train spécial du Führer. Lorsque, accoudé à la fenêtre, il serrait la main à ceux qui l'assiégeaient, le médecin qui l'accompagnait craignait toujours que le bras ne lui fût arraché. Là aussi, les SS luttaient littéralement pour réfréner cet enthousiasme délirant.
Comme ces manifestations coûtaient à Hitler un temps considérable et le retardaient souvent dans son programme, ses déplacements furent, par la suite, tenus secrets. La peur des attentats justifiait également cette mesure de sécurité.

Lorsque Hitler parcourait les routes d'AIlemagne en voiture, son détachement avait fort à faire pour empêcher des accidents de personnes. Il arriva que des femmes, l'ayant aperçu, restèrent comme paralysées sur place et qu'elles furent écrasées par les voitures de la suite. Il fallait fréquemment repousser la foule qui arrêtait toute circulation. Des officiers SS se tenaient alors sur les marchepieds pour empêcher les fanatiques de prendre la voiture d'assaut.

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